EN tant que structures d’appui, les CCIS constituent un partenaire idéal pour relayer les instances centrales dans la mise en œuvre de la politique nationale de mise à niveau. La Chambre de commerce, d’industrie et de services de Settat-Benslimane-Berrechid (CCIS) œuvre dans ce cadre à la concrétisation d’une approche stratégique visant une conformité aux normes de qualité. Aussi, la CCIS a adopté dans son plan 2009-2012 une stratégie définissant ses moyens d’action. Cela dans l’objectif d’une meilleure intégration dans les plans de développement économique. Et également de jeter des ponts de communication avec les industriels, les commerçants et les prestataires de services dans les trois provinces relevant de son espace territorial.
Aujourd’hui, la CCIS a décroché sa certification grâce notamment à la conjugaison des efforts de toute l’équipe administrative. Il faut dire qu’au niveau de cette chambre, il y a une élite d’industriels très active qui essaie d’instituer une nouvelle approche répondant à l’esprit de la culture d’entreprise. Cette élite a poussé l’institution à élaborer des visions répondant à une gestion de qualité au sein de la Chambre via des normes reconnues internationalement. Depuis 2003, il y a tout un débat qui avait été engagé autour de cette question et a donné naissance à la constitution d’une commission qui a veillé à l’élaboration d’une vision de la qualité à la CCIS. Cette vision a été présentée officiellement lors de la Semaine nationale de la qualité en novembre 2007. C’était aussi l’occasion de s’interroger sur l’image et le positionnement de la Chambre tant au niveau de ses adhérents qu’à celui de ses partenaires. L’on avait également abordé la question de la qualité des services proposés.
La CCIS de Settat a alors décidé de recourir aux services de cabinets spécialisés dans l’audit de la qualité. C’est ce qui a permis à la Commission chargée de la mise à niveau et de la qualité de mettre en place des canaux d’élaboration de toutes les stratégies régionales et nationales pour une meilleure communication avec les partenaires de la Chambre. Et par conséquent, activer l’adoption d’un système de normes de qualité (ISO 9001). Ce système permet de corriger pas moins de quatre défaillances. En premier, mettre l’administration devant ses responsabilités de manière permanente. En second, baser le système de qualité retenu sur les exigences et besoins administratifs pour assurer la sauvegarde des acquis. Tertio, déterminer les besoins en identification et gérer les cheminements nécessaires pour satisfaire toutes les parties. Et enfin, s’arrêter sur les besoins en évaluation et respecter les recommandations pour le développement.
La Chambre a ainsi suivi, dès octobre 2010, toutes les procédures exigées à commencer par l’identification totale de tous les aspects de qualité à l’intérieur de l’institution et que l’on veut certifiés. La deuxième a consisté à rassembler, en septembre 2010, tous les documents et premières données examinées avec le bureau d’études. Une autre commission a été alors constituée pour la gestion de la qualité au sein de la Chambre. Commission qui a élaboré un plan de structuration totale du système de gestion de la qualité.
L'Economiste
La CCIS de Settat a alors décidé de recourir aux services de cabinets spécialisés dans l’audit de la qualité. C’est ce qui a permis à la Commission chargée de la mise à niveau et de la qualité de mettre en place des canaux d’élaboration de toutes les stratégies régionales et nationales pour une meilleure communication avec les partenaires de la Chambre. Et par conséquent, activer l’adoption d’un système de normes de qualité (ISO 9001). Ce système permet de corriger pas moins de quatre défaillances. En premier, mettre l’administration devant ses responsabilités de manière permanente. En second, baser le système de qualité retenu sur les exigences et besoins administratifs pour assurer la sauvegarde des acquis. Tertio, déterminer les besoins en identification et gérer les cheminements nécessaires pour satisfaire toutes les parties. Et enfin, s’arrêter sur les besoins en évaluation et respecter les recommandations pour le développement.
La Chambre a ainsi suivi, dès octobre 2010, toutes les procédures exigées à commencer par l’identification totale de tous les aspects de qualité à l’intérieur de l’institution et que l’on veut certifiés. La deuxième a consisté à rassembler, en septembre 2010, tous les documents et premières données examinées avec le bureau d’études. Une autre commission a été alors constituée pour la gestion de la qualité au sein de la Chambre. Commission qui a élaboré un plan de structuration totale du système de gestion de la qualité.
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