Nouveau domaine à explorer au sein de l'Université, la sécurité fait l'objet d'un colloque maghrébin qui s'est ouvert mardi à Settat. Universitaires, chercheurs et experts sont réunis pour voir comment l'Université peut aider à cerner ce domaine dans un Maghreb en transition.
Un colloque maghrébin sur “La question de la démocratisation du secteur de la sécurité au Maghreb”, s'est ouvert, mardi à la Faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Settat, en présence notamment d'universitaires, chercheurs et experts du Maroc, de l'Algérie, de la Tunisie, de la Mauritanie et de la Libye.
Un colloque maghrébin sur “La question de la démocratisation du secteur de la sécurité au Maghreb”, s'est ouvert, mardi à la Faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Settat, en présence notamment d'universitaires, chercheurs et experts du Maroc, de l'Algérie, de la Tunisie, de la Mauritanie et de la Libye.
Intervenant à l'ouverture de ce colloque de deux jours, organisé par le Laboratoire de recherches sur la transition démocratique comparée, le directeur général du Centre africain de formation et de recherche administratives pour le développement (CAFRAD), Simom Mamosi Lelo, a indiqué que le centre œuvre pour le renforcement du partenariat avec les universités marocaines et africaines, en général, notamment en matière de recherche.
La sécurité constitue un nouveau domaine à explorer au niveau de la recherche, a indiqué Mamosi Lelo, rappelant qu'elle reste cruciale pour le développement et qu'il faut préserver la paix, la sécurité et la stabilité pour drainer les investissements et favoriser les conditions du développement économique.
La sécurité est l'affaire de tous, a-t-il dit saluant par la même occasion l'Université Hassan Ier qui a mis en place une Licence professionnelle en Sciences de la Sécurité et un Master en SGR.
Impliquer l'Université
Pour le Master SGR, Soumaya Akkour, professeure-chercheuse, a indiqué qu'il s'inscrit dans l'optique d'impliquer l'université en tant qu'acteur de formation et de réflexion dans cette démarche nouvelle et dans un contexte nouveau de transition que connaissent la plupart des pays du Maghreb.
La recherche, a précisé Mme Akkour, permettrait de comprendre l'interdépendance des domaines de la sécurité et de juger les transformations sociales et technologiques, en fournissant ainsi les outils majeurs à même d'aider à la connaissance des différents domaines de la sécurité et à participer à l'élaboration d'une politique en la matière.
Prenant la parole, Juliette Borsenberger, représentante de la Fondation Hanns Seidel pour le Maroc et la Mauritanie, a indiqué que la question sécuritaire est multidimensionnelle et que le grand défi à relever pour les pouvoirs publics est de pouvoir faire face aux différents risques et menaces venant aussi bien de l'extérieur que de l'intérieur.
MAP
La sécurité constitue un nouveau domaine à explorer au niveau de la recherche, a indiqué Mamosi Lelo, rappelant qu'elle reste cruciale pour le développement et qu'il faut préserver la paix, la sécurité et la stabilité pour drainer les investissements et favoriser les conditions du développement économique.
La sécurité est l'affaire de tous, a-t-il dit saluant par la même occasion l'Université Hassan Ier qui a mis en place une Licence professionnelle en Sciences de la Sécurité et un Master en SGR.
Impliquer l'Université
Pour le Master SGR, Soumaya Akkour, professeure-chercheuse, a indiqué qu'il s'inscrit dans l'optique d'impliquer l'université en tant qu'acteur de formation et de réflexion dans cette démarche nouvelle et dans un contexte nouveau de transition que connaissent la plupart des pays du Maghreb.
La recherche, a précisé Mme Akkour, permettrait de comprendre l'interdépendance des domaines de la sécurité et de juger les transformations sociales et technologiques, en fournissant ainsi les outils majeurs à même d'aider à la connaissance des différents domaines de la sécurité et à participer à l'élaboration d'une politique en la matière.
Prenant la parole, Juliette Borsenberger, représentante de la Fondation Hanns Seidel pour le Maroc et la Mauritanie, a indiqué que la question sécuritaire est multidimensionnelle et que le grand défi à relever pour les pouvoirs publics est de pouvoir faire face aux différents risques et menaces venant aussi bien de l'extérieur que de l'intérieur.
MAP